La Bête noire et Petite Reine

Raphaëlle Boitel a rêvé ce projet comme une introspection de l’être. Une exploration au cœur de cette femme, à qui on ne demande de n’être plus qu’un corps. Une référence à un passé de contorsionniste pour qui les stigmates sont irrémédiables. Dans la continuité de La Bête noire, qui évoque les luttes intérieures d'une femme marquée par son parcours, Petite Reine est le second volet d'un triptyque de portraits de femmes de cirque. Cette pièce mêlera performance acrobatique sur vélo et texte sur un ton décalé et loufoque.