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Escape game

Thissa d’Avila Bensalah
  • Théâtre musical
  • Tous publics à partir de 15 ans
1h
Dates
  • jeu. 16 Janvier à 14h30
    Tarif
    E
  • ven. 17 Janvier à 20h30
    Tarif
    A
Théâtre Louis Jouvet

Dans le cadre de ce spectacle, le documentaire Et si le ciel était vide, réalisé par Thissa d’Avila Bensalah, sera le mercredi 15 janvier à 20h30 projeté sur notre toile, sa vision étant suivie d'un débat avec la réalisatrice. 

Ce spectacle est une lettre fictive adressée à un lycéen rencontré par Thissa d’Avila Bensalah dans le cadre d’une intervention artistique en milieu scolaire. À l’occasion de ces ateliers, l’adolescent a en effet évoqué les violences dont il avait été victime dans sa famille avant de rompre tout échange puis de proférer des menaces de mort à l’encontre de l’artiste. Refusant la rupture définitive, Thissa choisit alors de réinstaurer un éventuel dialogue et de faire théâtre sous la forme d’une parole salvatrice mise en musique. Ainsi est né Escape game, ou comment transformer une expérience douloureuse en un admirable oratorio profane sur l’état de notre jeunesse et le désarroi de nos systèmes éducatif ou judiciaire lorsqu’ils sont confrontés aux violences patriarcales.

Le cerf lit son journal
  • Thissa d’Avila Bensalah ne flanche pas, ne se positionne jamais en victime, elle garde ce rôle d’adulte et la responsabilité qu’il implique. Il n’y a pas la moindre poussière de rancœur dans son discours mais tout l’amour qu’elle porte encore pour son métier, l’émancipation de chacun pour horizon. Chapeau bas !

    Pariscope
  • Poétique et politique, puissant et alarmant, ce spectacle alerte sur la défaillance de la société. Sur scène, la très engagée Thissa d’Avila Bensalah fait entendre son chant sans rancœur, ni colère, ni vengeance. Seule une tristesse pointe quand elle confie : « J’ai mal à mon métier ». Avec douceur, bienveillance et sensibilité, elle expurge le choc du traumatisme vécu, cette menace de mort proférée par un jeune qui, lui, a terriblement mal à sa vie.
    Lien social
  • L’artiste a trouvé les clefs pour ouvrir les portes du déni. Avec une création originale, poétique, musicale, scénique, elle expose, fait réfléchir, raconte, et élucide.Thissa a toujours un regard féministe acéré sur notre société. Ses pièces, films et autres productions artistiques incitent à la réflexion. Cette pièce le confirme: à ne pas manquer !

    50-50 Magazine
Distribution
  • Écriture et mise en scène Thissa d'Avila Bensalah
  • Création musicale et interprétation Thissa d'Avila Bensalah, La Louise et Gisèle Pape
  • Collaboration graphique et vidéos Camille Sauvage
  • Création sonore, images additionnelles, régie son et régie vidéo Didier Leglise
  • Scénographie Marius Strasser
  • Lumières Thissa d'Avila Bensalah
  • Costumes Marta Rossi
  • Regards extérieurs & complicités Stanislas Roquette, Fanny Touron, Ysmahane Yaqini
  • Régie générale Arnaud Prauly, Thomas Boizet et Gaëtan Thierry
  • Régie lumière Gaëtan Thierry
  • Stagiaire mise en scène Marthe Sarafis-Charmel
  • Accompagnement en diffusion et communication Laetitia Zaepffel
  • Comédien.ne.s et sillhouettes du film d’introduction et supports de communication Marien-Jibril Khouani, Célestin Khouani, Ely Rubinowitz, Thomas Trouillet
Production
  • Production : compagnie De(s)amorce(s)
  • Coproduction : Les Passerelles - scène de Paris-Vallée de la Marne
  • Soutiens : Région Ile-de-France, Colombier de Magnanville, Collectif 12 de Mantes-la-Jolie, Théâtre Louis Jouvet – scène conventionnée d’intérêt national de Rethel, TAG - Théâtre de Grigny, la Centrale de Paris, SPEDIDAM. La compagnie De(s)amorce(s) est également soutenue par la Région Ile-de-France dans le cadre de la permanence artistique et culturelle